Ben passe une très mauvaise journée
by Firefish
Tandis que Caleb subissait tout en tas d’humiliations, Trent et Adam passaient une excellente journée, la randonnée se passait bien, il ne faisait pas trop chaud à l’ombre des bois. Après deux heures de marche, ils arrivèrent à la fameuse cascade. L’endroit était superbe, il y avait une petite retenue d’eau qui permettait de se baigner. Les garçons se rapprochèrent de l’eau et constatèrent qu’elle n’était pas trop froide.
Ils piqueniquèrent au bord de l’eau, tout en discutant de chose et d’autre. Adam essaya de résonner Trent sur le sort de son petit frère mais ce dernier ne voulut rien entendre. Adam désapprouvait un peu le comportement de Trent envers Caleb, mais surtout il avait peur que son ami paye chèrement le prix de son attitude envers ce dernier.
Quand ils eurent fini de manger, ils firent en peu la sieste, étendu dans l’herbe, au son de la cascade. Puis Adam dit :
– Et si on se baignait ?
– Ah mince je n’ai pas pris de maillot
– On s’en fout on a qu’à se baigner à poil, il n’y a personne et puis de toute façon on est à Cockcaigne c’est légal ici.
Tout en discutant Adam avait commencé à enlever ses vêtements, il était maintenant nu devant son ami, qui piquait un phare en essayait de ne pas fixer de sexe de son pote. Cela fit sourire Adam qui rentra dans l’eau. Quand il fut immergé jusqu’à la taille, il se retourna et appela :
– Allé fait pas ton timide, en plus elle est super bonne
Trent finit par se déshabiller protégeant son intimité avec ses mains. Adam ne put que partiellement apercevoir l’objet de sa curiosité.
Une fois s’être bien amusé, ils s’allongèrent sur l’herbe pour se faire sécher. Bien entendu Trent se mis sur le dos.
Enfin, il fut temps de se rhabiller et de reprendre la route, l’après-midi était déjà bien avancé.
Ben de son côté avait commencé sa journée de travail comme d’habitude, il était rentré dans le grand open-space où il travaillait, il venait de poser ses clés de voiture et son téléphone sur son bureau qui était près de la porte d’entrée. Tout au fond de l’endroit se trouvait le bureau de Roger, le chef du service. Entre le bureau de Roger et celui de Ben, il y avait une longue allée qui passait devant une vingtaine de bureaux.
Ben adorait son nouveau poste, il avait pu lors de quelques réunions, briller devant les boss de l’étage supérieur, il savait que cela avait été mal vu par ses collègues et surtout par Roger. Mais Ben s’en moquait, il n’était pas là pour se faire des amis mais pour faire du bon travail et progresser dans la hiérarchie. Il avait l’impression d’être le roi du monde.
Ben était brillant, il avait toujours eu des résultats excellents à l’école. En plus il était beau comme un dieu, il avait un corps de sportif, musclé et ferme, un visage encore juvénile, des cheveux blonds ébouriffés avec style et un regard bleu lagon. On pouvait dire que Ben attirait tous les regards.
Pourtant Ben n’avait pas eu une vie facile, après le décès soudain de ses parents dans un accident, il avait dû faire beaucoup d’efforts pour que la famille n’éclate pas et que ses deux frères ne soient pas placés en famille d’accueil. Les parents n’avaient pas laissé beaucoup d’argent et il avait dû travailler en même temps que ses études pour nourrir ses deux frères. Alors quand il avait eu cette opportunité à Cockcaigne qui leur assurait une stabilité financière importante, il n’avait pas hésité. Trent lui en avait beaucoup voulu. Ben aimait énormément ses deux frères mais si Caleb était généreux et adorable, Trent pouvait se montrer très égoïste et imbu de sa personne. Il ne voyait pas les efforts que faisait son grand frère pour lui. A commencer par le renoncement à une vie amoureuse pour pouvoir élever ses petits frères.
Roger était déjà installé dans son bureau. A 55 ans il était petit et ventripotent, il travaillait depuis 20 ans ici et n’attendait plus grande chose à l’exception d’avoir la paix. Et depuis un mois, il était contrarié, le nouveau lui posait des problèmes, il se mettait trop en avant et si cela continuait il allait lui faire concurrence. Il avait préparé deux cafés, il mit une pilule E dans un et touilla jusqu’à ce qu’elle fonde, puis il appela le nouveau dans son bureau.
Il le regarda traverser l’allée, sûr de lui, la démarche féline et élégante, Roger murmura dans sa barbe :
-tout ça va bientôt changer.
Ben toqua à la porte entrebâillée du Bureau de Roger.
– Entre Ben, assis toi tiens je t’ai préparé un café
– Oh ok merci Roger
Ben s’assis et commença à boire le café.
– Je voulais juste faire le point avec toi sur tes dossiers.
Tout en buvant son café, Ben se fit une joie de montrer comment il avançait rapidement et regagna son bureau une fois que cela fut fait.
Cela faisait un bon quart d’heure qu’il travaillait quand il commença à se sentir bizarre, son sexe bandait dur et formait une bosse très proéminente devant son pantalon. Il se tortilla sur sa chaise essaya de penser à autre chose, mais c’était difficile. Son téléphone sonna, Roger avait encore besoin de lui. Merdre…
Roger regarda le nouveau traverser l’allée, il avait beaucoup moi d’assurance maintenant, il était tout rouge et essayait tant bien que mal de dissimuler sa bosse en passant devant ses collègues.
Roger, lui avait préparer un autre café, ils parlèrent rapidement d’un dossier puis Ben retourna à sa place.
Dans l’heure qui suivit, Roger appela Ben au moins cinq fois pour lui parler de détails sans importance et à chaque fois il lui offrit un café où un verre d’eau qu’il accepta.
A dix heures, Ben n’en pouvant plus, il était incapable de travailler, il était obnubilé par une seule chose, il fallait qu’il jouisse. Cependant comme il en avait le droit, Roger avait fait enlever toutes les portes des toilettes de l’étage pour surveiller que les gens ne passent pas de temps inutiles au WC, il ne pouvait donc pas se masturber tranquillement. Ben commençait à envisager l’idée d’aller dans un autre étage ce qui était normalement interdit, lorsque Roger l’appela de nouveau.
La traversée fut encore plus difficile en plus de sa bosse, Ben avait maintenant une grosse tâche qui s’était formée devant son pantalon, et marcher au milieu des bureaux de ses collègues qui lui adressaient tous un sourire narquois, lui avait faire perdre toute assurance.
Il arriva à nouveau au bureau de Roger qui ne lui proposa rien à boire cette fois. Il était confortablement assis dans son fauteuil en cuir et fixait Ben d’un œil railleur.
– Bon Ben j’ai réfléchi et je me dis que l’on ne fait pas assez pour les nouveaux ici, j’ai cherché un moyen pour que les gens te reconnaissent, ça permettra de d’intégrer plus vite et de recevoir plus d’aide.
– Euh très bien et en quoi ça consiste ?
– Ta tenue
– Quoi ma tenue ?
– Il te faut quelques choses de plus identifiable
– Heu ok mais quoi ?
– Enlève tes vêtements, c’était un ordre pas une question.
Mais Ben de broncha pas, alors l’autre répéta, et le jeune homme lui répondit
– Non je ne vais pas me déshabiller, vous n’avez pas le droit.
– J’imagine que tu sais dans quelle ville tu vis non, tu as lu le règlement intérieur de la boite quand tu es arrivé, donc tu sais que j’ai le droit. Après libre à toi, de refuser, mais ça veut dire plus de job, plus de maison, toi et tes deux frères à la rue.
Ben semblait réfléchir puis pris au piège il ne pouvait qu’obéir. Il commença à enlever ses habits et à les poser sur le bureau de son chef. Bientôt, il ne lui restait plus que son boxer orange sur le devant duquel se trouvait une énorme tache humide qui le rendait presque transparent.
– Allé de slip aussi sois pas timide.
Ben hésita puis baissa le sous vêtement son sexe claqua contre son ventre pour pris une position horizontale, au bout de son gland pendant un long fil translucide. Roger pris tous les habits et les accrocha sur un porte manteau derrière lui. Puis il détailla le nouveau, une gueule d’ange bien que rouge de honte, des pectoraux saillants, des abdominaux bien dessinés, des jambes musclées, une épaisse toison pubienne qui remontait par une ligne bien fournie vers le nombril, ses bourses étaient aussi bien poilues, ses aisselles avaient aussi des poils abondant en revanche sa poitrine était imberbe et ses jambes clairsemées.
– C’est bon tu peux retourner travailler maintenant
– Quoi s’étrangla Ben, et ma tenue
– Et bien c’est ça ta tenue fit Roger en le montrant de sa main
– Mais…
– Bon écoutes-tu commences à me fatiguer de discuter toujours les ordres, soit tu retournes à ton bureau soit tu rentres chez toi.
Ben poussa un long soupir et se retourna vers la porte, il posa la main de dessus, il hésita et l’ouvrit.
Ce fut le plus grand moment d’humiliation de toute sa vie. Il fut obligé de traverser l’allée et apparu nu devant tous ces collèges qui souriaient en se disait « tu fais moins le malin maintenant ». Il ne pouvait cacher son sexe en érection, ni le filet translucide qui tanguait au rythme de ses pas.
Il arriva enfin à son bureau, il avait envie de pleurer, et se cacher dans un tout petit trou et disparaitre.
Roger profita de la situation encore trois fois en le faisant traverser nu l’allée qui menait à son bureau, à chaque fois il but le verre d’eau que Roger lui proposa.
Il était presque l’heure de se rendre au self, où toute la société se retrouvait pour manger, environ 150 personnes, qui allaient tous le voir dans cet état, sa vie était finie.
C’est alors que Roger l’appela une nouvelle fois. Ben était plus excité que jamais à chaque mouvement il avait l’impression qu’il allait jouir. Une fois dans le bureau Roger lui dit :
– J’ai réfléchi et tu as raison je t’ai trouvé de quoi de mettre.
Et il fit glisser une espèce d’anneau sur le bureau.
– Qu’est-ce c’est ?
– C’est un cock ring ça se met autour de ton truc
– Ben ne semblait pas comprendre
– Viens à côté de moi je vais te le mettre.
Ben hésitant s’approcha, Roger qui ne le trouvait pas assez près le pris par la taille et le colla quasiment contre lui. Il prit l’anneau puis saisi les testicules de Ben qui recula. Comme son petit frère un peu plus tard dans la journée, c’e fut la première fois que quelqu’un touchait Ben à cet endroit, il était encore vierge et il n’avait jamais eu de contact intime avec quelqu’un. Ses études, son boulot, ses frères, il n’avait jamais eu le temps pour ça. Roger le tira de nouveau vers lui, saisit son sexe poisseux et fit passer l’objet autour du pénis puis l’étira un peu pour faire passer les bourses. Ben serra les dents pour ne pas éjaculer. Une fois terminer, Roger frotta sa main poisseuse contre la cuisse de Ben pour la nettoyer.
Ben baissa les yeux, l’objet rendait son sexe encore plus gros et complétement engorgé, il était tout rouge et les veines étaient gonflées et bien visibles, son gland avec presque viré au violet, la scène était presque comique tant son sexe semblait énorme.
Roger décida qu’il était temps d’aller manger et tout le service se rendit au self. Ben était dans l’ascenseur avec Roger et trois collègues, le self se situait trois étages en dessous. Il fixait la porte mais il sentait tous les regards braqués sur lui. Puis, il sentit les vibrations, le truc autour de son sexe vibrait, Ben reteint de justesse un cri car il avait failli jouir. Juste avant que les portes s’ouvrent d’autres vibrations arrivèrent beaucoup plus fortes. Ben se reteint une nouvelle fois de justesse, il avait envie de crier sur Roger mais bien entendu il ne pouvait pas.
Il était arrivé au self avait pris un plateau et son repas, il était au milieu de réfectoire en train de chercher une place tenant son plateau à deux mains quand l’objet vibra encore plus fort mais ne s’arrêta pas cette fois. Ben manqua de tomber et de lâcher le plateau, il garda son équilibre et son repas mais ne put contenir son sexe qui cracha là au beau milieu de la cantine quatre jets surpuissant de sperme qui s’éclatèrent sur le carrelage. Le silence c’était fait dans le réfectoire, tout le monde le regardait. La première idée qui vint à Ben fut « on va me mettre en prison » mais on était à Cockcaigne, ce qui lui était arrivé était des plus humiliant mais il n’avait enfreint aucune règle ici. Quelqu’un lui tapota l’épaule, c’était Roger qui lui prit d’une main son plateau et de l’autre lui tendit un torchon.
– Il faut ramasser mon garçon quelqu’un pourrait glisser.
Alors humiliation supplémentaire, Ben fut obliger de se mettre à quatre pattes au milieu de self pour ramasser son sperme avec des centaines d’yeux braqués sur son intimité.
Le repas passa, en remontant Roger convoqua Ben encore une fois dans son bureau pour lui demander :
– Alors tu préfères avec habit ou sans habits en pointant le Cock Ring du doit
– Sans Monsieur
– Très bien alors je vais te l’enlever et la prochaine tu obéiras tous de suite …
Une nouvelle fois il tripota les parties intimes de Ben.
– Et n’oublie pas qu’à 14h30 on a une réunion de présentation avec la big boss.
Effectivement, Ben due présenter l’avancée de son projet à la grande directrice générale, debout devant un paperboard avec le sexe toujours autant tendu avec son filet pendouillant au bout.
Après la réunion, rouge de honte, il regagna son bureau.
Il essaya de travailler pendant l’heure suivante puis son téléphone vibra c’était Caleb. Ben décrocha anxieux ses frères avaient pour consigne de ne l’appeler qu’en cas d’urgence.
Caleb sanglotait au bout du fil, il semblait complétement abattu, il expliqua rapidement la situation et l’endroit où il se trouvait, Ben lui dit qu’il arrivait au plus vite et raccrocha. Ce n’était pas l’heure de partir et il devait demander l’autorisation à Roger. Il alla donc frapper à la porte de son bureau. Son chef le fit entrer.
– Roger j’ai besoin de vous demander quelque chose de personnel c’est important.
Il se redressa et dit
– Hum ok mais avant tu dois faire quelque chose pour moi.
– Ok qu’est-ce que c’est
Roger recula sa chaise, écarta s les jambes et ouvrit sa braguette.
– Si tu veux que je te fasse plaisir, tu dois me faire plaisir avant.
Ben allait protester, puis il pensa à Caleb qui semblait si désespéré. Alors sans réfléchir, il s’approcha de son chef et se mis à genou devant lui. Il avait sorti son sexe qui était plutôt de petite taille mais bien dressé.
– Prend le dans ta bouche
Ben s’exécuta, il crut qu’il allait vomir le goût était immonde, acre. Mais il arriva à s’habituer, alors il fit des va et vient espérant que Roger ne fasse pas trop trainer. Et effectivement ce ne fut pas long et son chef se retira et lui jouit en pleine face et dans les cheveux. Ben voulu protester mais se retint, puis Roger dit :
– Alors c’est quoi ta demande
– Je voudrais pouvoir partir maintenant mon petit frère a un souci
– Ok vas-y tu peux y aller
Ben allait récupérer ses habits quand son chef intervint
– Hola non, je n’ai pas dit que tu pouvais les prendre
– Mais j’ai fait ce que vous avez demandé
– Oui mais ça c’était pour pouvoir partir par pour prendre tes affaires, alors dépêches toi avant que je change d’avis.
Ben n’insista pas, il était épuisé et Caleb attendait.
Ultime humiliation de la journée, il retraversa il bureau avec le sperme de Roger sur son visage. Tous ses collègues purent le voir ainsi.
Ben éteint son ordinateur, pris son portable et ses clés de voiture et se dirigea vers les toilettes pour se nettoyer le visage. Il trouva la porte fermée avec un panneaux dessus qui disait « Fermer pour maintenance ». Décidément ce n’était pas sa journée.
Il sortit du bâtiment le contraste avec le matin était saisissant, il était arrivé fier et buste droit, il repartait nu, le dos vouté et un filet de pré cum pendouillant misérablement devant lui.
Il prit sa voiture et conduisit jusqu’au collège. Caleb était assis là complétement nu lui aussi. Quand il s’approcha Ben vis que son visage semblait couvert de la même substance que le sien. Puis Caleb ouvrit la porte et resta figé quand il vit son grand frère aussi nu que lui.
Il finit par monter et Ben démarra. Et pendant que Caleb raconta son histoire, ce dernier ne pouvait décoller les yeux du sexe en érection de son frère, il était comme hypnotisé par le fil transparent qui pendait au bout. Ben raconta succinctement pourquoi il était lui aussi nu et le visage couvert de sperme séché. Il avait honte de raconter ça à son petit frère.
Il gara sa voiture dans l’allée, ils étaient enfin arrivés, les deux frères n’avait qu’une envie se laver et mettre des vêtements. C’est alors que Ben cria :
– Merdre les clés de la maison sont dans mon pantalon.
Il fallut faire preuve de beaucoup de force mentale à Ben pour ne pas se mettre à pleurer.
Il faisait chaud dans la voiture qui n’avait pas la clim c’était intenable, alors Caleb et lui allèrent s’assoir devant la porte d’entrée ; nus, à la vue de la première personne qui passerait devant la maison. Cependant avec la journée qu’ils avaient vécue, cela n’avait plus beaucoup d’importance.
Caleb se serra contre le corps chaud de son frère, il avait besoin réconfort, Ben lui passa un bras autour des épaules, le plus jeune baissa les yeux vers le sexe toujours en érection de son frère, cela fit durcir le sien. Ben s’en aperçu et ça les fit rire tous les deux.
Trent déboucha des bois à la tombée de la nuit, tout heureux de sa journée, il arriva devant la maison, il vit deux masses sombres assisent devant la porte. Ce fut en s’approchant de plus près qu’il vit ses deux frères complétement nus et tout sales, ils n’avaient pas l’air d’avoir passé une bonne journée.
Puis il croisa le regard de Ben qui le fusilla sur place, et lui lança
– Tu es allé trop loin cette fois.
La soirée risquait de ne pas être très bonne.
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